Hier, c'était la journée internationale de la Tolérance.
Le site, que je vous invite à consulter :
http://www.un.org/fr/events/toleranceday/
On aurait pu aussi l'appeler "Journée de l'Humanité", ça aurait été pareil. Une journée dédiée à l'amitié, l'amour, la fraternité entre les hommes.
J'ai l'impression d'avoir tellement parlé de ce sujet qu'il me paraît être une évidence. Malheureusement, le fait qu'il y ait une journée pour la tolérance, ça veut bien dire qu'il y a besoin de rappeler aux gens que la tolérance est une nécessité absolue. Parce que sans elle, on rejette l'autre à toutes les échelles. Je vais volontairement exagérer (mais à peine) :
L'Europe rejette le monde. La France rejette l'Europe. Les régions puis les départements s'individualisent. Puis c'est le chacun pour soi. Au final, chacun finit seul.
Voilà ce qui se passerait avec la tolérance : chacun travaillerait main dans la main, avec le sourire, chacun aiderait l'autre, et avec 7 milliards de cerveaux, la science progresserait bien plus vite (parce que mine de rien, séparer les équipes de scientifiques et les mettre en concurrence, c'est moins efficace que s'ils échangeaient leurs idées...), avec 7 milliards de cœur, on pourrait vivre dans l'harmonie. C'est mon côté idéaliste.
Tout ça pour dire que, la tolérance, poussée à l'extrême, c'est indéniablement positif, l'intolérance, poussée à l'extrême, c'est vivre seul.
Et je ne cesserai jamais de le répéter suffisamment. L'homme est un animal social. Nous avons besoin de l'autre. Besoin de beaucoup d'autres. Mon rêve serait que nous ayons besoin de tous les autres.
Et je vais même vous dire une chose. J'aime profondément l'Homme. Quel qu'il soit, dans un premier temps, je veux dire : l'humanité. Ensuite, j'aime chacun des humains qui peuplent cette planète. Et les autres, mais c'est moins probable. Même si je peux avoir toutes les raisons de les haïr. Je ne suis personne pour les juger, je n'ai pas vécu leur vie, leurs problèmes, alors, je les aime. Parce qu'ils sont humains, et que j'ai foi en eux. Tout simplement.
On va finir avec une petit paragraphe "bisounours" (les papillons brillent et le soleil chante !) :
Aimez-vous, parce que l'amour est la seule chose qui grandit lorsqu'elle est partagée, et que c'est aussi bénéfique pour les deux parties.
Aidez-vous, parce que c'est le premier pas vers l'amitié et l'amour, parce que c'est la base des relations sociales humaines. L'entraide, c'est ce qui permet et a toujours permis à l'homme de réaliser de "grandes choses" (construire les pyramides, atteindre la Lune, découvrir les atomes...).
J'ai l'impression d'avoir tellement parlé de ce sujet qu'il me paraît être une évidence. Malheureusement, le fait qu'il y ait une journée pour la tolérance, ça veut bien dire qu'il y a besoin de rappeler aux gens que la tolérance est une nécessité absolue. Parce que sans elle, on rejette l'autre à toutes les échelles. Je vais volontairement exagérer (mais à peine) :
L'Europe rejette le monde. La France rejette l'Europe. Les régions puis les départements s'individualisent. Puis c'est le chacun pour soi. Au final, chacun finit seul.
Voilà ce qui se passerait avec la tolérance : chacun travaillerait main dans la main, avec le sourire, chacun aiderait l'autre, et avec 7 milliards de cerveaux, la science progresserait bien plus vite (parce que mine de rien, séparer les équipes de scientifiques et les mettre en concurrence, c'est moins efficace que s'ils échangeaient leurs idées...), avec 7 milliards de cœur, on pourrait vivre dans l'harmonie. C'est mon côté idéaliste.
Tout ça pour dire que, la tolérance, poussée à l'extrême, c'est indéniablement positif, l'intolérance, poussée à l'extrême, c'est vivre seul.
Et je ne cesserai jamais de le répéter suffisamment. L'homme est un animal social. Nous avons besoin de l'autre. Besoin de beaucoup d'autres. Mon rêve serait que nous ayons besoin de tous les autres.
Et je vais même vous dire une chose. J'aime profondément l'Homme. Quel qu'il soit, dans un premier temps, je veux dire : l'humanité. Ensuite, j'aime chacun des humains qui peuplent cette planète. Et les autres, mais c'est moins probable. Même si je peux avoir toutes les raisons de les haïr. Je ne suis personne pour les juger, je n'ai pas vécu leur vie, leurs problèmes, alors, je les aime. Parce qu'ils sont humains, et que j'ai foi en eux. Tout simplement.
On va finir avec une petit paragraphe "bisounours" (les papillons brillent et le soleil chante !) :
Aimez-vous, parce que l'amour est la seule chose qui grandit lorsqu'elle est partagée, et que c'est aussi bénéfique pour les deux parties.
Aidez-vous, parce que c'est le premier pas vers l'amitié et l'amour, parce que c'est la base des relations sociales humaines. L'entraide, c'est ce qui permet et a toujours permis à l'homme de réaliser de "grandes choses" (construire les pyramides, atteindre la Lune, découvrir les atomes...).
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